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Juin 2010 Une interface d'iPhone trop agrandie. Sur l'iPhone, l'écran étroit permet davoir la barre inférieure en vue pour par exemple connaître le volume. Sur l'iPad, l'il est attiré par le centre de l'écran et la barre d'onglets est peu regardée, voire oubliée. Vérifier le volume et les notifications devient peu pratique. Où cliquer ?
Les commandes changent selon les applications : 1) ne rien faire 2) Agrandir limage 3) mener vers une page détaillée 4) retourner l'image pour en montrer d'autres 5) ouvrir un menu de navigation. Toucher le logo amène un menu listant les différentes sections. Aucun utilisateur n'a découvert cette action spontanément. Les activations accidentelles : en faisant un geste quelconque mais reconnu par le système lutilisateur peut activer une fonction à son insu. Ce qui est visible n'est pas toujours activable Les zones dactivation tactiles doivent être assez grandes. Les sites web doivent créer des zones où « le texte soit assez grand pour être lu et pour être touché ce qui nest pas encore le cas. La métaphore papier trop présente dans les applications de contenu Les applications de contenu sont trop calquées sur le modèle de l'imprimé. L'iPad qui est érigé en sauveur de la presse souffre de cet héritage et perd en interactivité. Source zdnet
LiPad, avantages et inconvénients
Lipad a-t-il atteint le sommet de la simplicité ? Pas tout à fait de petits défauts existent néanmoins.
L'apparence des boutons est uniformisée pour se fondre dans l'interface. Une idée très esthétique dont la contrepartie est : on ne sait plus où cliquer.
Par exemple, l'appui sur une image peut, soit